From Julie Carron-Ampère (1ère femme d'Ampère)   14 juin 1802

[168]DuLundi [14 juin 1802]

[illeg] Je suis en peine de cette fièvre de M. Clerc. J'ai peur que tu travailles trop souvent près de lui et que tu ne la prennes à ton tour. Prends bien des précautions, mon bon ami ; prends toujours une goutte de vin avant de sortir. Frotte-toi les mains avec du vinaigre toutes les fois que tu vas le voir et fais-toi acheter du sirop de quina dont tu prendras une cuiller tous les deux jours. Je te prie en grâce, mon bon ami, pour me servir de tes expressions, de ne pas y manquer [illeg] [169] [illeg] Je suis plus grosse que jamais, mais pas plus souffrante. Je mange force cerises, ce qui me fait autant de bien que les fraises [illeg] [170] [illeg] M. Roux n'a point encore présenté ton ouvrage. Ballanche doit lui en parler.

[171]Au citoyen Ampère professeur de physique à l'école centrale à Bourg

Please cite as “L137,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 28 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L137