From Julie Carron-Ampère (1ère femme d'Ampère)   5 juillet 1802

[154]DuLundi [5 juillet 1802]

Mon bon ami, tu recevras aujourd'hui un petit mot de ta Julie. [illisible] as tort d'être inquiet. Je suis toujours comme tu m'as laissée. M. Petetin trouve pourtant que l'humeur se ramolli et qu'elle est moins considérable. [illisible] Je vis toujours de fraises et de glace, mon petit biscuit pour mon souper, et je me lève deux fois par jour. Voilà mon bon ami tout ce que j'ai à te dire de moi. Tu comprends que je m'ennuie beaucoup mais l'espoir d'une guérison me soutient encore. [illisible].

Adieu bon ami [illisible] Adieu mon bien bon ami le petit a le dévoiement ce qui le rend bien grognon. N'oublie pas ta lettre pour M. Morel à Paris.

[155]Monsieur Ampère professeur de physique à l'école centrale à Bourg

Please cite as “L145,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 27 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L145