From Julie Carron-Ampère (1ère femme d'Ampère)   21 janvier 1803

[62]DuVendredi à 2 heures [21 janvier 1803]

[illeg] [63] Marie 1 est revenue malade de la Plate le jour de ton départ. On craint que ce ne soit la fièvre rouge. Mlle Feraman a la bonté de la garder chez elle[64] nuit et jour et notre petit n'a rien à craindre. Mais, sans ce service, nous étions bien à plaindre et la crainte m'a bien tourmentée. Ma pauvre mère est à la cuisine, à l'enfant et à me servir. Qu'elle est bonne, qu'elle est bonne ! Dieu me la conserve toute ma vie, toi et mon petit !

[65]Monsieur Ampère à l'école centrale à Bourg.
(2) Marie, la servante, qui avait succédé à Françoise, malade en juin 1802, revenait alors de son pays.

Please cite as “L201,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 25 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L201