From Julie Carron-Ampère (1ère femme d'Ampère)   8 mars 1803

[263]Du Mardi matin [8 mars 1803]

[illeg] Il faut te dire que nous avons l'appartement dont je t'ai parlé. Je suis toute surprise qu'il soit loué, sans que ni toi ni moi l'ayons vu. Mais c'était si pressé de décider que j'ai dit oui dans la crainte de payer aussi cher ailleurs et d'être loin de la maison Périsse. [illeg] [264] [illeg] Les conditions ont toujours été les mêmes que je t'ai marqué. Voilà, mon bon ami, ce qui est fait. Est-ce bien, est-ce mal, c'est ce que je ne sais pas ; mais c'est bien agréable et bien utile pour nous d'être près de la maison Périsse. A présent, je voudrais savoir ce que tu penses, si tu es content ou si tu trouves que c'est trop cher, ou d'autres inconvénients [illeg]

Please cite as “L227,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 20 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L227