To Pierre Maine de Biran   1806

[1806 ou 1807]

Mon cher ami, Il n'y a qu'un moyen de nous voir, c'est de dîner ensemble non chez le restaurateur, mais chez moi. Comme mon fils sort de sa pension aujourd'hui seulement par extraordinaire, je suis bien aise de dîner chez moi, mais pourvu que vous en soyez. Je vais prévenir M. Blondeau que nous ne pouvons dîner avec lui. Je l'inviterais sans l'observation que vous m'avez faite qu'il ne faut être que deux pour pouvoir achever une discussion et arrêter quelque chose. Je vous embrasse de tout mon cœur. A. Ampère

J'avais plusieurs choses à vous dire relativement à M. Berthollet.

Please cite as “L281,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 28 March 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L281