[illeg] Nous reçûmes jeudi le 4 septembre la lettre où tu me parles de M. Dorlit, où il n'y avait pas un mot de ma fille. Ta sœur chercha une raison de ce silence ; elle prétendit que vous arriviez pour nous surprendre ; cette idée nous fit un plaisir que tu peux t'imaginer [illeg] Tous les châteaux en Espagne se sont évanouis par la lettre du 1er septembre [illeg] [107] [illeg] Oui, ma chère fille, vous avez fait et faites le bonheur de mon fils. Combien je dois vous aimer ! Que je serais heureuse si les idées de votre sœur se réalisent et que je puisse vous voir et vous témoigner toute ma tendresse [illeg] Tu ne me laisseras pas, mon cher ami, dans l'inquiétude de savoir ta chère Jenny malade [illeg]
Please cite as “L297,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 21 September 2023, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L297