From Jean-Marie Périsse-Marsil   26 septembre 1806

[10] 26 septembre 1806
Cher frère et bon ami

[illeg] Ma joie d'avoir vu qu'enfin tu étais au comble de tes désirs et avais pour moitié une si aimable personne que tous ceux qui ont le bonheur de la connaître ne peuvent se lasser d'en faire l'éloge [illeg] Périsse qui t'écrit te dira que l'examen qu'il redoutait tant a eu lieu et fini hier, de son propre aveu il a bien répondu sur certaines difficultés et s'est troublé et a été embarrassé par d'autres.s [illeg] [11] [illeg] [12] [illeg] [13] Ton fils est bien portant, j'en eu des nouvelles hier, il est à St Germain pour le temps qu'y demeureront les dames Carron. Il est gentil au possible, écrivant une petite lettre à Stéphane sous la dictée de Mlle élise. Elle lui fit remarquer qu'il oubliait de mettre les points sur les i. Non, dit-il, j'aime trop mon cousin pour agir ainsi avec lui ; j'ai toujours entendu dire que ce n'était qu'avec les gens que l'on n'aime pas que l'on met les points sur les i [illeg]

A monsieur Ampère répétiteur d'analyse mathématiques à l’École Polytechnique, rue Poissonnière n°10 à Paris.

Please cite as “L301,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 29 March 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L301