From Claude-Julien Bredin   15 juillet 1811

[15 juillet 1811]

[118]Mon ami, excellent Ampère, voilà déjà treize jours que tu nous as quitté.[illeg] [119] [illeg] [120] [illeg]Tu voudrais avoir des nouvelles de Bonjour. Quelques[121] jours après ton départ, il était encore très monté contre toi et ne pouvait encore pas concevoir ta conduite. Un dur égoïsme lui semblait toujours le seul mobile de tes actions.[illeg] écris-lui, mon ami ; conviens de tes torts, tu en as de réels. Ne dis rien des siens ![illeg]

Please cite as “L384,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 25 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L384