From Claude-Julien Bredin   20 août 1811

[93] 20 août 1811

[illeg] [94] [illeg] Tu ne pouvais donc pas écrire deux lignes, deux mots.[illeg] [95] [illeg] [96] [illeg]Ce soir, j'ai vu Camille Jordan ; il m'a demandé des nouvelles d'Ampère ; il est bien étonné de ton silence ; moi, j'en suis plus qu'étonné, je m'inquiète [illeg].

Please cite as “L387,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 19 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L387