From Claude-Julien Bredin   12 octobre 1811

[12 octobre 1811]

[36] [illeg] [37] [illeg] Ce départ d'une amie, cette affliction pour la mort de ce fils chéri ! Je suis bien timoré, tu riras en pitié de mes craintes ! Mais je redoute pour toi la mère affligée. Mon bon ami, connais-toi toi-même !

[illeg] Je suis allé à Poleymieux [illeg] [38] [illeg]

Ces tableaux doivent, en effet, se gâter. Ce sont de bonnes copies. Je les aurais fait venir demain, mais j'irai exprès. Je les sauverai et j'en jouirai et mes amis en jouiront[illeg] [39] [illeg]

Please cite as “L399,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 23 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L399