From Claude-Julien Bredin   25 août 1812

[260] 25 août 1812

Est-il vrai ? Tu serais assez bon pour venir à Lyon passer tes vacances ? Qu'attends-tu donc ? Pourquoi retardes-tu ? Où veux-tu aller ? Il n'y a point de lieu sur la terre où tu sois aimé comme ici ?[illeg] [261] [illeg] [262] [illeg]

Mon ami, dis-moi donc quel est ce dénouement qui a eu lieu à peu près malgré toi de la manière que j'aurais pu le désirer (2) ! Je m'en doute un peu ; mais je voudrais savoir précisément ce que c'est. Viens ici me dire toutes tes imprudences, et comment l'amitié a tout réparé.

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J'ai vu plusieurs fois Camille. Nous avons causé à cœur ouvert. Je suis de plus en plus content de lui. Quel bonheur pour lui si tu revenais passer seulement quelques jours à Lyon !

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Please cite as “L420,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 3 May 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L420