From Claude-Julien Bredin   2 septembre 1812

[268] 2 sept[embre] 1812

[illeg] Fais tout ce que tu pourras pour venir ! Je t'attendrai, je reste à Lyon tout exprès. Mais tu feras tout pour venir, je le sais tu es si bon pour moi. Ce portrait ! 1 Je voudrais bien pouvoir te gronder, tu le mériterais ; mais le plaisir qu'il me fait l'emporte sur ma raison. Je n'ai pas la force de gronder ; il est très beau, mais trop beau.[illeg] [269] [illeg]

Je ne comprends presque rien aux choses dont tu me parles dans tes trois dernières ; je ne m'en forme que des images bien imparfaites ; mais tu me les expliqueras, n'est-ce pas ?

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[271]A Monsieur Ampère, Cour du Commerce, n° 19, près la rue des Fossés-Saint-Germain.
(2) Ampère avait envoyé à Bredin son portrait, peint par une dame pour laquelle il semble avoir éprouvé un instant de fantaisie ou tout au moins de compassion (Lettre 0396). Voir Lettres 0424 et 0429.

Please cite as “L423,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 3 May 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L423