To Claude-Julien Bredin   1813

[Fin 1813 ?]

[illeg] [203] de ma belle-sœur se nomme Mme Campredon. Elle demeure dans la maison que je viens de te désigner au quatrième étage.

Je n'ai que le temps de te charger de mes respects et de l'assurance d'un sincère attachement pour Mme Bredin, de mille baisers pour vos enfants. Dis-moi donc où tu en es relativement à tes arrangements de famille ! Donne-moi de vos nouvelles à tous ! Offre mes hommages à ta mère quand tu la verras et embrasse pour moi tous nos amis ! Tous, tu sais bien que Bonjour, Ballanche, Dupré, l'excellent Camille, Chatelain, etc., y sont compris. Et Barret, est-il auprès de toi ? Tu ne m'as pas dit seulement si ce projet avait réussi ou échoué, ou traînait encore. Barret !

il a pris la meilleure part, elle ne lui sera pas ôtée. Je voudrais le revoir. Je t'embrasse de toute mon âme. A. Ampère.

[204]A monsieur Bredin Directeur de l'École impériale vétérinaire, à Lyon (Rhône)

Please cite as “L433,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 20 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L433