To Jean-Baptiste Dugas-Montbel    [septembre 1813]

Lundi [septembre 1813]

Mon bien bon ami, je suis charmé de ce que tu m'annonces pour demain. Ainsi fait, ainsi dit. Si tu ne m'as pas trouvé chez moi, c'est que j'étais à Nogent à 3 lieues de Paris où j'ai loué pour quelques mois une petite maison de campagne auprès de celle de M. Degérando. Si tu étais libre demain après dîner, nous irions coucher à cette petite maison, nous verrions M. Degérando mercredi matin, et nous reviendrons à Paris après une promenade sur les bords enchantés de la Marne. Arrange-toi pour cela, tu combleras de joie ton meilleur ami. A. Ampère

Rue du Faubourg-Poissonnière, n° 1, à Paris

Please cite as “L454,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 25 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L454