To François Carron (frère de Julie)   11 octobre 1813

11 octobre 1813

Mon bon ami, Mme Degérando qui souffre beaucoup des dents pense, d'après mon conseil, à faire le remède de M. Schmidt. Pourrais-tu donner son adresse à celui qui te remettra ce billet avec un mot d'écrit pour que ce fût de ta part qu'il allât chez M. Schmidt si cela est nécessaire, comme je le crois, tu sais pourquoi.

Adieu, mon bien bon ami ; je t'embrasse de tout mon cœur. Je te prie d'embrasser pour moi notre chère éliza. Ton frère tout dévoué. A. Ampère

A M. Carron, courtier de commerce, rue du Faubourg-Saint-Denis, n° 19, à Paris.

Please cite as “L458,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 20 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L458