To François Carron (frère de Julie)   30 novembre 1813

Dimanche 30 octobre [3 novembre 1813]

Mon bon ami. Ta femme va de mieux (en mieux), la route ne l'a pas sensiblement fatiguée, elle souffre peu à présent. Eliza va à merveille. Quant à mon affaire relativement à ce que j'ai manqué ma première leçon, tu ferais une chose bien importante pour moi de revoir tout de suite M. Durivaux, de savoir comment on a pris la chose, et, si c'est mal, de me justifier autant que tu pourrais. Je t'embrasse de toute mon âme.

A. Ampère

A M. Carron, rue du Faubourg-Saint-Denis, n° 19, à Paris

Please cite as “L462,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 29 March 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L462