Mon bon ami, j'ai reçu ta lettre lorsqu'il n'y avait pas un quart d'heure que je savais que la nomination avait eu lieu en ma faveur dès le premier tour de scrutin 1. Tout s'est ainsi réuni pour que je fusse momentanément bien heureux. Mais que de regrets mêlés ! Je te répondrai au long dès que je serai hors des visites, etc. Je n'ai que le temps de t'embrasser mille et mille fois. Adieu, cher ami, adieu Bredin, écris-moi. Quand te reverrai-je comme tu me le dis, bon ami ? A. Ampère
Please cite as “L499,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 30 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L499