To Jacques Roux-Bordier   25 mai 1819 ?

[25 mai 1819 ?]

[début de la lettre conservé aux Archives de l'Académie des sciences, voir ampere_corr_L1819-05-25-a] [illeg] à nous dire. Si vous me pardonnez mon silence qui n'a été nullement volontaire, mais qui a été un effet de l'entraînement des circonstances que je viens de vous expliquer, écrivez-moi, je vous en prie, un petit mot à Lyon, chez Bredin, pour me [dire] où je pourrai vous rencontrer, ou bien un mot à Bredin indiquant la même chose. Ballanche a été malade à la mort ; c'était un désespoir ; mais il est remis à présent, quoique encore faible et qu'il lui soit défendu de s'appliquer. Je lui ai communiqué votre dernière lettre, mais il était encore plus faible alors et peu capable de l'application nécessaire pour sentir toute la force de vos raisons. Je n'ai pas eu la possibilité de lui en reparler. Tous ceux de vos amis qui sont ici vous font mille compliments et amitiés, moi par-dessus tous les autres. Je vous embrasse de toute mon âme dans la douce espérance que je vous verrai bientôt si vous m'accordez de venir à Lyon ou de vous trouver sur la route aux époques où je pourrai vous y trouver. A. Ampère

A Monsieur Roux-Bordier, à Genève, Confédération suisse

Please cite as “L579,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 27 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L579