From Jean-Jacques Ampère (fils d'Ampère)   2 octobre 1821

[495] S[ain]t Germain 4 octobre [1821]

Je suis encore ici, mon cher papa. On m'a tellement bien reçu, on a eu pour moi tant de bonté, on m'a montré tant d'amitié que je n'ai pu résister. Du reste la journée est très bien arrangée pour le travail. C'est le même système qu'à Vanteuil/[illeg] Mme Récamier me demande toujours si j'ai travaillé et m'y invite continuellement [illeg] [496] [illeg] Peut-être Mme Camille Jordan viendra-t-elle avec sa fille [illeg] Je te plains d'être là-bas dans les affaires et je te remercie de toutes les peines que tu te donnes. Si mon oncle voulait vendre au prix que nous avons dit, ce serait une bonne chose [illeg]

Ne crains rien pour ma tragédie 1 ! Elle marche toujours au milieu des petites inspirations accidentelles. Mme Récamier m'a chargé de mille choses pour toi. Tu penses que M. Ballanche, l'excellent Ballanche, ne t'a pas oublié [illeg]

[497]Monsieur Ampère chez Monsieur Bredin à l'école vétérinaire des portes de Vaise à Lyon dép[artemen]t du Rhône
(2) La tragédie de Rosemonde ne fut finie qu'un an après, le 11 septembre 1822.

Please cite as “L608,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 25 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L608