From Claude-Julien Bredin   20 septembre 1825

[160] 20 7bre [septembre] 1825

[illeg] [161]Je désire vivement que la Juive de ton fils achève promptement son développement et que tu viennes me la lire [illeg] Tâche donc, cher ami, de garder ta place de l'école Polytechnique ; fais quelques efforts sur toi ! [illeg]

[162] Tu ne me dis rien des Grecs ; leurs affaires me préoccupent comme si j'étais en Morée [illeg] Adieu. Hélas, je savais bien que ton croire n'est pas d'accord avec ton vouloir. C'est un vrai malheur.[illeg]

Please cite as “L687,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 27 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L687