To Gabriel Ride (gendre d'Ampère)   6 octobre 1827

[2] 6 8bre [octobre] 1827
Monsieur,

[illeg]M. Lombard, notaire, s'était chargé de parler aux dames Potot et Ampère (1)... Il me marque que le résultat de sa démarche a été satisfaisant, mais qu'au lieu de 2000 francs de pension, elles ne[3] veulent accorder que 1500. Cette différence ne me paraît pas très importante [illeg]

J'ai mis des maçons et des menuisiers dans mon appartement en arrivant ici pour y faire des dispositions qui, je crois, vous conviendront [illeg] [4] [illeg]

[5]A monsieur Ride, chef d'escadron, à Bar-sur-Seine. Dép[artemen]t de l'Aube
[6] 13 8bre [octobre] 1827 1

[illeg] Je conservais quelques inquiétudes sur un point capital, celui de la succession à assurer à ma fille. [illeg] M. Lombard m'annonce que ce point a été décidé par elles comme je le désirais [illeg] [7] Ma sœur est convenue avec les dames Potot et Ampère de vous conduire chez elles quand vous serez de retour à Paris [illeg] [8]

[9]A monsieur Ride, chef d'escadron dans la compagne de Croy des gardes du corps de sa majesté. A Bar-sur-Seine. Dép[artemen]t de l'Aube
Louis de Launay a rassemblé en une seule unité deux lettres différentes, mais de contenu très proche ; le fac-similé de cette partie est consultable en tant que "folios 5, 6, 7, et 8" du manuscrit de la présente lettre. Par ailleurs, comme on le verra en consultant le manuscrit, la transcription qu'il en a proposée est très partielle.

Please cite as “L713,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 26 April 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L713