To Henri Rivail (neveu d'Ampère)   21 février 1833

21 février 1833

Si l'excellent Henri pouvait me faire l'amitié, en attendant une réunion plus complète, de venir dîner un jour avec moi, par exemple après-demain samedi ou dimanche, je lui proposerais d'imprimer pour moi un petit tableau extrait du grand qui l'a été à Clermont, extrait que je serais bien aise d'avoir à part si ce n'était pas trop cher.

Je te prie bien, mon cher et bon neveu, d'embrasser pour moi l'aimable éliza, mon frère et ma sœur. Quand est-ce que j'aurai le bonheur de vous voir tous quatre en parfaite santé s'il est possible réunis dans la rue des Fossés-Saint-Victor ? Tout à toi mille fois, cher neveu. A. Ampère.

Monsieur Rivail, imprimeur, rue Notre-Dame-des-Victoires, n° 6, ou à l'imprimerie de M. Mie, rue Jocquelet, Paris. [La poste a écrit : inconnu, rue Jocquelet, voir rue Notre-Dame-des-Victoires, n° 24.]

Please cite as “L792,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 8 May 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L792