To Ampère, Albine (fille d'Ampère, épouse Ride)   25 juillet 1835

[29] Périgueux 25 juillet 1835

[illeg] Cette tournée diffère des autres en ce que nous examinons tous les collèges communaux et, comme notre travail se trouve ainsi triplé sans pouvoir y mettre plus de temps, crainte de ne plus trouver d'élèves dans les établissements où viendrait la distribution des prix, il n'y a pas un instant qui ne soit employé.

[illeg] Je n'ai pas de tes nouvelles depuis Auch, où mon fils m'a écrit son voyage de Dieppe qui me semble tomber bien mal à propos et le résultat favorable d'un conseil de famille qui a décidé qu'il y avait lieu de prononcer l'interdiction. [illeg] Je ne serai tranquille sur le sort de mon Albine que quand elle sera prononcée. J'ai encore écrit à M. Lenoir de suivre l'affaire. [illeg] J'espère que tu m'auras écrit à Sarlat ou à Tulle [illeg] [30] [illeg] Des sécheresses qui me font craindre pour mes plantes et les catalpas plantés depuis peu. [illeg] As-tu vu quelquefois l'aimable voisine qui demeure vis-à-vis de toi, Mme de Mussy, les Amolini ? [illeg] Embrasse pour moi ta tante et ma cousine ! [illeg] A. Ampère

Madame Ride-Ampère rue des Fossés-Saint-Victor, n° 19, à Paris.

Please cite as “L821,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 28 March 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L821