From Claude-Julien Bredin   2 novembre 1818

2 novembre 1818

[illeg] Je viens d'entendre ce chant sublime du Dies irae que j'aime tant. O mon ami, une de mes douleurs, c'est de voir jusqu'à quel point la musique a dégénéré dans nos temps modernes. Jeudi, dans la petite église du village de Souzy, les enfants Chirat ont chanté ce morceau dont nous ne sommes plus dignes ; ils ont des voix d'anges. N'espères-tu pas que l'enseignement mutuel fasse quelque bien à la musique ? A propos d'enseignement mutuel, dis-moi donc ce qu'a ton clergé contre cette méthode. Si je pouvais croire que tu n'as pas lu le discours de Gilbert, je te l'enverrais [illeg]

Please cite as “L920,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 2 May 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L920