From Claude-Julien Bredin   9 octobre 1824

[186] 9 octobre 1824

[illeg] Dès que nos examens seront terminés, je m'occuperai [187] de mes os. J'espère pouvoir aller demain dessiner de belles molaires ; j'en ai déjà d'intéressantes. Gilibert, Parat, Cochard me tourmentent depuis longtemps pour que je donne à l'Académie de Lyon un travail quelconque. Ils me présentent à tous les moments. Je suis toujours sur le point d'être nommé dans cette assemblée dont il dépendait de moi d'être dès le principe puisque j'étais sur la liste. Je m'en suis fait rayer. Ils disent à présent qu'il faut entrer à l'Académie monté en triomphateur sur mon mammouth, sur mon éléphant. Je ne sais qu'en dire. A présent, je travaillerai, mes idées se sont modifiées. Adieu. C-J Bredin

Please cite as “L930,” in Ɛpsilon: The André-Marie Ampère Collection accessed on 1 May 2024, https://epsilon.ac.uk/view/ampere/letters/L930